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LEZOUX,
terre des potiers romains

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Les ateliers de potiers antiques de Lezoux furent, avec ceux de Millau-La Graufesenque, le centre de production céramique le plus important de l'Empire romain. Sur plusieurs dizaines d'hectares, les fabricants lezoviens façonnèrent plusieurs centaines de millions de vases. Ces produits étaient exportés, grâce à un réseau commercial efficace dans tout le nord de l'Empire romain. C'est ainsi que les poteries de Lezoux sont fréquemment découvertes en France, en Grande-Bretagne, au Bénélux, en Allemagne, en Suisse, en Hongrie, en Roumanie et même parfois en terre barbare, au-delà du Limes, comme en Pologne.

Parmi les productions, la plus importante et la plus notable est celle de la sigillée. Il s'agit d'une céramique à vernis rouge brillant, dont les formes (plus de 230) répondaient à des critères typologiques stricts. Un fort pourcentage de vases était moulé et présentait des décors végétaux ou issus du répertoire romain (mythologie, scènes de gladiature, etc.). La sigillée a été fabriquée durant les cinq premiers siècles de notre ère, avec des techniques, des styles ou des formes qui ont évolué ou changé. Aussi, le moindre fragment de céramique sigillée de Lezoux découvert sur un chantier archéologique en France ou en Europe est considéré comme une découverte importante, pouvant dater la couche dans laquelle il a été trouvé avec une précision d'une ou de quelques décennies. Par delà cette simple utilisation de la sigillée comme un chronomètre pour les archéologues, ces tessons sont aussi le reflet direct de la diffusion de la romanité à travers tout l'empire.

 

Les débuts de la production

Si la période protohistorique semble occuper une place non négligeable sur le territoire de la commune de Lezoux, seul un seul four de potiers de l'âge du fer atteste actuellement une activité potière préromaine. C'est au tout début du premier millénaire de notre ère, probablement dans la dernière partie du règne d'Auguste, que les premières officines de céramique de type romain commencèrent leur activité. A côté de céramiques fines -terra nigra, cruches à engobe blanc, lagènes rouges-, les premières sigillées, tant lisses que moulées, dénotent la forte influence des ateliers du nord de l'Italie. Certains décorateurs semblent même avoir copié des poinçons italiques et des potiers affichent, dans leurs estampilles, leur filiation avec le centre céramique d'Arezzo, en Toscane. Les débuts de Lezoux sont d'ailleurs étonnants par leur technicité, l'ampleur des moyens et des hommes mis en place. Près de 120 potiers et une dizaine de décorateurs ont déjà été identifiés (Dans ce comptage, nous ne pouvons prendre en compte, bien évidemment, que les potiers qui signaient épigraphiquement leur production o} des décorateurs possédant un style très original) pour cette première phase de production, qui n'a duré guère plus qu'une trentaine d'années. Ce démarrage semble si soudain qu'il faut sans doute voir derrière la main de riches negotiatores, qui ont décidé l'implantation d'unités de production importantes pour s'imposer sur le marché. Malgré une bonne diffusion à leur commencement vers des contrées lointaines, les ateliers lezoviens paraissent devoir ensuite s'incliner devant les exportations de sigillées de Millau, et dans une moindre mesure, celles de Montans. Tout cela pose des questions, auxquelles il est bien difficile de répondre : d'où venait cette main-d'oeuvre spécialisée, pouvait-elle être uniquement d'origine indigène, qu'est-elle devenue ? Il semble cependant que l'hypothèse de potiers ayant travaillé en Italie soit la piste la plus vraisemblable.

 

La grande période de Lezoux

Alors que la production de la sigillée a fortement décru, voire cessé, vers la fin du deuxième quart du Ier s., celle des céramiques fines ne connut pas de solution de continuité. Sous les Flaviens, et grâce sans doute à l'action de grands commerçants, Lezoux va connaître un important renouveau, tant au point de vue des formes, que des styles décoratifs. Au début du IIe s., ce mouvement se poursuivit et s'accompagna d'un grand changement technique ; les potiers employèrent alors une argile calcaire qui permettait d'obtenir des vases avec un vernis parfaitement étanche. Durant tout le IIe et le début du siècle suivant, les produits de Lezoux furent massivement exportés et occupent la part principale du marché de la sigillée. Dans le courant du IIIe s., l'activité régressa ; elle fut accompagnée d'une baisse de qualité et de l'arrêt des grandes exportations. Celle-ci s'accrut jusqu'au début du Ve s., époque à laquelle les potiers lézoviens fabriquèrent les dernières coupes sigillées moulées (forme Drag. 37) de tout l'Empire romain, ces vases qui, durant plusieurs siècles, ont véhiculé une certaine image de la romanité jusqu'aux endroits les plus reculés des provinces.

 

Après la période romaine

Une activité potière est attestée à Lezoux depuis le Moyen Age jusqu'à la période contemporaine, mais sans jamais atteindre l'ampleur et la spécificité des ateliers romains. Cependant, la manufacture Bompard fabriqua grès et faïences, aux XIXe et XXe s., qui furent diffusés sur une échelle assez vaste grâce au réseau des magasins de l'Épargne et à des commandes du ministère de la guerre. Didier Marty (poterie de la Croix des Rameaux, rue de la République), Annie Bernard (Atelier du Tour de la Terre, avenue du Dr Corny) et Gérard Morla (atelier expérimental du C.R.D.V. au château de Montsablé) sont les actuels représentants de l'activité céramique de Lezoux.

 

Les structures de production antique

Les ateliers de potiers de Lezoux étaient répartis, sur le territoire actuel de la commune, en plusieurs agglomérations qui pouvaient regrouper plusieurs dizaines d'officines. Les plus importants de ces groupes d'ateliers furent ceux de la rue Saint-Taurin, de Ligonnes et de la route de Maringues. Ceux de la rue Saint-Taurin, situés au centre du bourg actuel, sont probablement les plus vastes avec une superficie de plus de 20 hectares et plusieurs centaines de potiers attestés.

Les structures qui subsistent de ces ateliers sont principalement des fours, des aires de préparation de l'argile, des bâtiments. Ils sont généralement construits avec des fragments de tuiles ou de grands éléments en terre cuite.

Découverte du site et premières exploitations

C'est juste avant la Révolution Française que le passé antique de Lezoux resurgit à l'occasion de travaux sur la propriété de M. de Chazerat, à Ligonnes. Plusieurs dizaines de fours de potiers gallo-romains auraient été alors été découverts. Depuis lors, l'attention des collectionneurs se porta sur Lezoux et les cabinets d'antiquaires du monde entier s'enrichirent de leurs découvertes. A la fin du XIXe s., le Dr E. Plicque, par ses multiples fouilles et acquisitions, amplifia les recherches et constitua une solide collection. C'est en grande partie grâce à lui, bien qu'indirectement, que des travaux plus scientifiques virent le jour. Ainsi, J. Déchelette, dans Les Vases Céramiques Ornés de la Gaule Romaine, en 1904, synthétisa ces données. D'autre part, sa collection acquise par de grandes institutions (Le musée des Antiquités se rendit propriétaire de la plus grande partie de cette collection.) fut à l'origine de plusieurs travaux fondamentaux. D'autres collectionneurs continuèrent des recherches désordonnées, laissèrent leur nom à la postérité, mais malheureusement aucune publication. Vers le milieu du XXe siècle, quelques amateurs, comme J. Martin et Ch. Fabre, firent l'effort de publier quelques articles ou opuscules. Un intérêt local, ne se limitant plus à quelques notables, se développa alors ; il se concrétisa par la création du Comité Archéologique de Lezoux à la fin des années 50, puis d'un musée municipal contrôlé. Une mission anglaise, sous la direction de B. Hartley et du professeur Frere, fut à l'origine de la reprise des fouilles en 1963. H. Vertet, chercheur au C.N.R.S., put rapidement contrôler ces recherches, assurer la conservation sur place de la plus grande partie du mobilier découvert et entreprendre de nouvelles fouilles. Celles-ci eurent l'handicap de n'être qu'une suite de sauvetages menés avec les faibles moyens qui étaient ceux de l'archéologie d'alors. L'arrêt des fouilles sur la ZAC de l'Enclos en 1987 permit au centre archéologique de décupler son activité et d'avancer considérablement dans la connaissance de la céramique lézovienne, en renouvelant la recherche. Il a permis la réalisation de plusieurs thèses, de DEA et de nombreuses maîtrises. En 1991, suite à un appel d'offre international lancé par la sous-direction de l'archéologie, un programme triennal de recherche fut mis en place.

 

La mission de recherche instituée par le ministère de la culture

En 1991, la masse documentaire réunie sur Lezoux était considérable, bien que lacunaire et très partielle. Afin d'avoir une documentation homogène et renseignée sur le site de Lezoux -plus particulièrement sur les ateliers de potiers gallo-romains de Lezoux-, la sous-direction de l'archéologie a mis en place un programme de recherche jusqu'en septembre 1994. Dans ce cadre, tout le territoire de la commune a fait l'objet d'une vaste enquête. Des prospections au sol ont permis d'explorer plus d'un millier d'hectares en milieu labouré, 500 sondages ont permis d'effectuer un échantillonnage représentatif sur la sensibilité archéologique des différents secteurs de Lezoux, 1500 carottages d'explorer les milieux fortement urbanisés et de contrôler d'autres méthodes de prospections. Des prospections au magnétomètre à protons, au résistivimètre ou par carroyage ont affiné la connaissance de certaines zones sensibles. Des prospections aériennes par U.L.M. ont, en revanche, complété la connaissance des abords des ateliers et ont fourni une documentation photographique de premier plan grâce à un suivi vidéo (1 million d'images enregistrées). Le tri-inventaire du dépôt de fouilles, qui réunit deux millions d'artefacts provenant des quarante dernières années de fouilles, a pu être réalisé à environ 50 % ; il a fourni une connaissance matérielle des ateliers fouillés précédemment et une caractérisation des productions. L'ensemble des données, outre un archivage classique et graphique, bénéficie d'un traitement cartographique informatisé très puissant qui relie toutes les données acquises.

en guise de fin

Entre 1994 et 1999, des opérations archéologiques de petite et de moyenne ampleur ont été réalisées, sur l'ensemble de la commune de Lezoux, à l'initiative du Service régional de l'archéologie qui gère également le dépôt de fouilles archéologiques et la base de travail de l'impasse Pasteur.

En décembre 2002, le dépôt de fouilles a dû être fermé par le SRA à ses chercheurs historiques pour des raisons de préfiguration d'un futur musée... En décembre 2003, le centre archéologique Duchasseint a quitté ses locaux municipaux, la commune de Lezoux ayant décidé de mettre un terme au bail qui avait permis de favoriser tant de recherches depuis de nombreuses années.

 

 

 

 

 

 

 

The workshops of ancient pottery were Lezoux with those Millau -La Graufesenque, the center of ceramic production the most important of the Roman Empire. Several tens of hectares, manufacturers lézoviens shaped hundreds of millions of vases. These products were exported through an efficient sales network across the north of the Roman Empire. Thus the pottery Lezoux are frequently discovered in France, Great Britain, Benelux, Germany, Switzerland, Hungary, Romania and even in barbarous land, beyond the Limes, as in Poland .

 

Among the productions, the largest and most notable is that of the sigillata. This is a ceramic with bright red varnish, which forms (over 230) met the strict criteria typology. A high percentage of vases were molded and presented decorations or plants in the directory Roman (mythology of gladiatorial scenes, etc..). The sigillata has been made during the first five centuries AD, with techniques, styles or forms that have evolved or changed. Also, any fragment of terra sigillata Lezoux discovered on an archaeological site in France or Europe is considered a significant discovery, which may date the layer in which it was found with an accuracy of one or a few decades. Beyond the simple use of sigillata as a stopwatch to archaeologists, these fragments are a direct reflection of the spread of Roman civilization throughout the empire.

 

Early production

If the protohistoric period seems to occupy a significant place in the territory of the commune Lezoux, only one oven potters of the Iron Age shows current activity pre-Roman pottery. It's early in the first millennium AD, probably in the latter part of the reign of Augustus, the first dispensing ceramic Roman type began their activity. Besides fine-ceramic jugs white slip, red-lagen, the first terra sigillata, as smooth as print, indicate the strong influence of workshops in northern Italy. Some designers seem to have even used italics punches and potters display in their stamps, their affinity with the ceramics center of Arezzo, in Tuscany. Early Lezoux are also amazing in their technical, scope of resources and personnel in place. About 120 potters and a dozen decorators have already been identified (In this count, we can take into account, of course, that the potters who signed epigraphically o) production designers with a highly original style) for this first phase production, which lasted little more than thirty years. This boot seems so sudden that it is without doubt see the hand behind rich negotiatores, who decided the location of production units for significant inroads in the market. Despite a good start to their dissemination to distant lands, workshops lézoviens prima facie then bow exports sigillata of Millau, and to a lesser extent, those of Montan. All this raises questions and it is very difficult to answer: where did this skilled workforce, it could only be of indigenous origin, what has happened? It seems that the assumption of potters who worked in Italy is the track most likely.

 

The great period of Lezoux

While production of the sigillata strongly decreased or ceased towards the end of the second quarter of the first century, that of fine ceramics knew no solution of continuity. Under the Flavian, and probably through the action of large traders, Lezoux will undergo a major revival, both in terms of forms, as decorative styles. In the early second century, this trend continued and was accompanied by a major technical change, while employed potters clay limestone which allowed vessels to obtain a fully waterproof varnish. Throughout the second and the beginning of the next century, the products were Lezoux massively exported and occupy the major share of the market sigillata. In the course of the third century, activity regressed and she was accompanied by a decline in quality and the cessation of major exports. It grew until the early fifth century, when potters lézoviens fabricated the latest cuts molded terra sigillata (form Drag. 37) of the Roman Empire, these vases, which for several centuries, have conveyed a certain image of the Roman even the most remote parts of the provinces.

 

 

 

After the Roman period

 

A pottery-making is evidenced in Lezoux since the Middle Ages to the contemporary period, but never reach the magnitude and specificity of Roman workshops. However, manufacturing Bompard manufactured stoneware and earthenware, in the nineteenth and twentieth centuries, which were broadcast on a large enough scale through the network of stores for savings and to commands from the Ministry of War. Marty Didier (pottery Cross Palm, rue de la République), Annie Bernard (Atelier du Tour de la Terre, avenue du Dr Corny) and Gerard Morla (experimental workshop CRDV at Castle of Montsablé) are current representatives of activity Lezoux ceramics.

 

 

 

The ancient structures of production

 

The workshops of potters Lezoux were divided on the present territory of the municipality, in several cities that could consolidate dozens of pharmacies. The largest of these groups workshops were those of Saint-Taurin, Ligonnes and road Maringues. This of Saint-Taurin, located in the center of town today, probably the largest with an area of over 20 hectares and hundreds of documented potters.

 

The remaining structures of these workshops are primarily ovens, preparation areas of clay buildings. They are generally constructed with fragments of tiles or large terra cotta elements.

 

Discovery of the site and initial operations

 

It's just before the French Revolution that the ancient past resurfaces Lezoux at work on the property of Mr. Chazerat to Ligonie. Dozens of kilns Gallo-Roman potters were then discovered.Since then, the attention of collectors moved on Lezoux and antique cabinets around the world grew rich from their discoveries. In the late nineteenth century, Dr. E. Salter, for his multiple digs and acquisitions, to expand the research and formed a solid collection. Largely thanks to him, albeit indirectly, that more scientific work appeared. Thus, J. De'chelette in Les Vases Ceramics Adorned in Roman Gaul, in 1904, synthesized data. On the other hand, the collection acquired by large institutions (Museum of Antiquities went owns the bulk of this collection.) Was originally more fundamental work. Other collectors continued research disordered, gave their name to posterity, but unfortunately no publication. Towards the middle of the twentieth century, some amateurs, as J. Martin and C. Fabre, made the effort to publish some articles or pamphlets. A local interest, no longer restricted to a few notable, then grew it was realized by the establishment of the Archaeological Lezoux in the late 50s, then a controlled municipal museum. A British mission, under the direction of B. Hartley and Professor Frere was responsible for the resumption of excavations in 1963. H. Vertet, researcher at CNRS, could soon control the research, ensuring the preservation in situ of the bulk of archaeological and begin new excavations. They had the handicap of being a result of rescues carried out with limited resources which were those of archeology at the time. The cessation of excavations on the ZAC de l'Enclos 1987 allowed the archaeological center of its business tenfold and significantly advance the knowledge of ceramics lézovienne, renewing the search. It enabled the implementation of several theses, DEA and many masters. In 1991, following an international tender launched by the sub-directorate of archeology, a three year research program was established.

 

 

 

The research mission established by the Ministère de la Culture

 

In 1991, the amount of documentation gathered on Lezoux was considerable, although very incomplete and partial. To have an informed and consistent documentation on-site Lezoux especially on pottery workshops Gallo-Roman Lezoux-, sub-directorate of archeology has established a research program until September 1994 . In this context, the whole territory of the commune has undergone extensive investigation. Ground surveys have explored more than one thousand hectares in the middle plowed, 500 surveys have helped to make a representative sampling of the archaeological sensitivity of different sectors Lezoux, 1500 cores to explore the backgrounds highly urbanized and control other methods of prospecting. Surveys proton magnetometer, resistivity or the grids are refined knowledge of certain sensitive areas. Aerial surveys by U.L.M. have, however, complete knowledge of the surroundings of workshops and provided photographic documentation leading through a video monitor (1 million images recorded). The tri-inventory filing searches, which includes two million artifacts from the last forty years of excavation has been done about 50% and has provided knowledge of material previously excavated workshops and characterization of productions. The data, in addition to archiving classic graphic has a Depiction powerful computer that links all data acquired.

 

as a late

 

Between 1994 and 1999, archaeological operations of small and medium scale were performed on all of the common Lezoux, at the initiative of the Service régional de l'archéologie who also manages the filing of archaeological excavations and the base Working Pasteur impasse.

 

In December 2002, the filing of excavations had to be closed by the SRA to researchers for historical reasons foreshadowing of a future museum ... In December 2003, the archaeological center Duchasseint left his local municipal, commune Lezoux have decided to terminate the lease that had helped foster such research for many years.

 

 

 


 

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